Suite à cette journée, retrouvez :
Le communiqué de Solidaires
La page Facebook retraçant en direct cette mobilisation (+ retours des médias)
Solidaires entend préparer les conditions d’un mouvement d’ampleur prenant appui sur une multiplicité d’initiatives tout au long de l’été pour harceler le gouvernement.
Dans ce cadre nous appelons à manifester massivement le 30 août à Jouy-en-Josas contre l’université d’été du MEDEF.
Lien Facebook : https://www.facebook.com/events/335952423526837/
Le 30 août, bloquons le Medef
Le 30 août, le Medef tient son université d’été, dans laquelle il présentera au gouvernement ses nouvelles exigences, de plus en plus fortes.
Ce même jour, le conseil des ministres se réunira avant la présentation du contenu des ordonnances de la nouvelle loi travail par le premier ministre.
Jamais la collusion entre les sommets de l’Etat et le Medef n’a été aussi importante : loi travail, mesures anti-sociales pour réaliser l’équilibre budgétaire comme la baisse des APL, la suppression des contrats aidés, les suppressions d’emplois et le gel des rémunérations dans le public, la hausse de la CSG, préparation d’une réforme de l’assurance chômage et des retraites en droite ligne avec les exigences patronales.
Les organisations suivantes seront présentes le 30 devant l’université d’été du Medef pour engager la lutte commune en cette rentrée :
Pour la défense des droits des travailleurs, des travailleuses, des chômeurs, chomeuses, retraité-es, étudiant-es.
Contre la loi travail 2 XXL
Pour le droit au logement pour toutes et tous
Une manifestation partira de la gare de Jouy en Josas à 11h30 et rejoindra le lieu de rassemblement devant l’entrée de l’université du Medef. L’après midi se tiendront des animations, prises de parole et un forum débat.
Signataires au 28 août 2017 : Agir ensemble contre le chômage, APEIS, ATTAC, DAL, MNCP, Solidaires.
Le Comité National de Solidaires réuni les 5 et 6 juillet a débattu de la situation politique et sociale et notamment de la loi travail 2 que tente d’imposer dans l’urgence le gouvernement. Ce projet s’inscrit dans les objectifs poursuivis au titre des lois Macron, Rebsamen et El Khomri, et aggrave le démantèlement du droit du travail au détriment des salarié-es, particulièrement des jeunes et des plus précaires, qui sont majoritairement des femmes. Il se fait dans un simulacre de négociation syndicale à huis clos et par un procédé autoritaire, les ordonnances, qui réduit l’Assemblée Nationale à n’être qu’une chambre d’enregistrement. Tout cela se déroule principalement l’été, pour tenter d’éviter tout débat.
La responsabilité du mouvement social face à cette marche forcée est d’agir avec force et détermination pour rejeter ces textes et imposer un projet de transformation sociale et de progrès. Pour y parvenir l’union syndicale Solidaires appelle :