Hier soir alors que 3 étudiant-es partaient de manifestation pour prendre le métro et rentrer pacifiquement chez eux, ils se font placer en garde à vue par la police.
Parmi ces 3 étudiant-e-s, 2 sont adhérent-e-s à Solidaires étudiant-e-s.
Ces mises en garde à vue au hasard n’ont pas d’autre intérêt que de réprimer la contestation sociale.
Cet évènement montre que le gouvernement préfère réprimer à tout va la mobilisation et les étudiant-e-s plutôt que de retirer sa réforme rejetée par 94% des travailleur-euses.
En tout, depuis hier 10 étudiant-e-s de l’EHESS ont été mis en garde à vue pour réprimer le mouvement social, et la contestation étudiante.
Cet événement nous rappelle qu’en janvier des étudiant-e-s de l’EHESS avaient déjà été brutalisé-e-s et mis-e-s en garde à vue pour avoir occupé le campus Condorcet contre la réforme des retraites.
La fédération Solidaires étudiant-e-s et l’Union syndicale Solidaires exigent la libération immédiate de nos camarades et de tou-te-s les étudiant-e-s interpellé-es ainsi que le retrait de la réforme des retraites !