C’est à nous de les censurer !

Nous ne pouvions rien attendre de la majorité de ces politicards qui ne respectent jamais les aspirations et les besoins de celles et ceux qu’ils devraient représenter. 68 % des Français, après l’utilisation de l’article 49-3, souhaitaient que la motion de censure soit votée. Quand on voit que l’avenir de millions de travailleuses et travailleurs s’est joué à 9 voix, l’amertume va inéluctablement renforcer notre colère sociale. Nous ne devons rien attendre d’une éventuelle sortie médiatique d’Emmanuel Macron ou d’une invalidation du Conseil Constitutionnel. Cette loi ne sera jamais promulguée car notre lutte ne va pas cesser !